Ahmadinejad : « L’ennemi croit pouvoir casser la résistance du peuple iranien, mais il se trompe »
« Les pays occidentaux mènent une guerre économique à l'échelle de la planète contre l'Iran pour le faire plier », a déclaré mardi le président iranien Mahmoud Ahmadinejad lors d'une conférence de presse à Téhéran.
« L'ennemi a imposé des sanctions (...) contre les ventes de pétrole. Une grande partie des devises proviennent du pétrole. Et, pire, des sanctions contre les échanges bancaires pour que, si on vend du pétrole, on ne puisse pas rapatrier l'argent. C'est une guerre cachée et lourde à l'échelle de la planète », a-t-il affirmé. « Nos amis à la banque centrale tentent et trouvent des moyens pour contourner les sanctions », a ajouté M. Ahmadinejad. « C'est une bataille. Les Occidentaux ont réussi à faire baisser un peu nos ventes de pétrole, mais nous allons le compenser. L'ennemi croit pouvoir casser la résistance du peuple iranien, mais il se trompe », a-t-il martelé.
Imputant la dépréciation de la devise iranienne à ces sanctions, M. Ahmadinejad a affirmé : « L'ennemi a lancé une pierre sur notre chemin, il faut aider à lui retourner la pierre ». « Il y a une guerre psychologique (...) Tout le monde doit aider le gouvernement. Les sanctions visent le peuple. Ils (les Occidentaux) mentent lorsqu'ils disent que les sanctions sont des pressions contre le gouvernement », a-t-il expliqué.
Sur le même plan, Il a jugé que le schéma de bombe brandi par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu devant l'Assemblée générale des Nations unies était « puéril et primitif ». Il a estimé que la « ligne rouge » tracée au marqueur sur le dessin pour représenter le niveau de menace nucléaire iranienne nécessitant une intervention militaire internationale constituait une insulte à l'intelligence des dignitaires de l'ONU. « Ligne rouge, ligne blanche, ligne noire et autres sont pour les enfants. C'est le niveau de caractère de ce type », a signalé le président iranien. Le Premier ministre israélien avait brandi un schéma de bombe dans le style des dessins animés, dans une tentative d’expliquer que « rien n'était plus dangereux pour le monde qu'un Iran doté de l'arme nucléaire ».
Sources: agences
« L'ennemi a imposé des sanctions (...) contre les ventes de pétrole. Une grande partie des devises proviennent du pétrole. Et, pire, des sanctions contre les échanges bancaires pour que, si on vend du pétrole, on ne puisse pas rapatrier l'argent. C'est une guerre cachée et lourde à l'échelle de la planète », a-t-il affirmé. « Nos amis à la banque centrale tentent et trouvent des moyens pour contourner les sanctions », a ajouté M. Ahmadinejad. « C'est une bataille. Les Occidentaux ont réussi à faire baisser un peu nos ventes de pétrole, mais nous allons le compenser. L'ennemi croit pouvoir casser la résistance du peuple iranien, mais il se trompe », a-t-il martelé.
Imputant la dépréciation de la devise iranienne à ces sanctions, M. Ahmadinejad a affirmé : « L'ennemi a lancé une pierre sur notre chemin, il faut aider à lui retourner la pierre ». « Il y a une guerre psychologique (...) Tout le monde doit aider le gouvernement. Les sanctions visent le peuple. Ils (les Occidentaux) mentent lorsqu'ils disent que les sanctions sont des pressions contre le gouvernement », a-t-il expliqué.
Sur le même plan, Il a jugé que le schéma de bombe brandi par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu devant l'Assemblée générale des Nations unies était « puéril et primitif ». Il a estimé que la « ligne rouge » tracée au marqueur sur le dessin pour représenter le niveau de menace nucléaire iranienne nécessitant une intervention militaire internationale constituait une insulte à l'intelligence des dignitaires de l'ONU. « Ligne rouge, ligne blanche, ligne noire et autres sont pour les enfants. C'est le niveau de caractère de ce type », a signalé le président iranien. Le Premier ministre israélien avait brandi un schéma de bombe dans le style des dessins animés, dans une tentative d’expliquer que « rien n'était plus dangereux pour le monde qu'un Iran doté de l'arme nucléaire ».
Sources: agences
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