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Un général «israélien»: «Israël» ne peut pas vaincre le Hamas, le Hezbollah, Ansarullah, ni l’Iran

 Un général «israélien»: «Israël» ne peut pas vaincre le Hamas, le Hezbollah, Ansarullah, ni l’Iran
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Par AlAhed avec sites web

L’ex-général «israélien» Yitzhak Brik a écrit que le «Premier ministre» de l’occupation, Benjamin Netanyahu, conduit «Israël» vers une guerre d’usure prolongée, tandis que le public «israélien» se comporte comme un troupeau plongé dans un marécage, incapable de voir ce qui se passe devant lui.

Brik a comparé Netanyahu à Bar Kokhba, le leader de la révolte juive contre Rome, qui a conduit à la mort de centaines de milliers de Juifs sous sa direction, et dont les survivants ont été exilés. Il a affirmé que Netanyahu, tout comme Bar Kokhba, conduit «Israël» vers la catastrophe. L’ancien général a également indiqué que Netanyahu adopte les opinions des messianistes, notamment de Bezalel Smotrich et Itamar Ben-Gvir, et qu’il met en œuvre leurs ordres dans le but de maintenir sa position politique.

Dans un article publié dans le quotidien «Haaretz», Brik a expliqué que ces trois dirigeants mènent «Israël» dans une guerre d’usure qui détruit l’économie, l’endurance nationale, les relations internationales et la sécurité nationale. Une guerre qui n’a atteint aucun de ses objectifs : ni la libération des captifs, ni le retour des déplacés dans leurs foyers, ni l’effondrement du Hamas ou la défaite du Hezbollah.

L’ancien général a averti qu’il était essentiel de comprendre qu’«Israël» ne peut pas vaincre le Hamas, le Hezbollah, la branche d’Ansarullah au Yémen, ni l’Iran. Selon lui, la guerre prolongée va finir par détruire «Israël» : le pays perdra son soutien international, son économie, son armée, et même sa cohésion sociale, ce qui pourrait mener à une guerre civile.

Brik a également averti que les «Israéliens» risquent de se rendre compte trop tard qu’ils ne peuvent pas éradiquer ce qu’ils appellent le «terrorisme» au Moyen-Orient, ni vaincre les États arabes. Par conséquent, il a estimé que la bonne chose à faire serait de mettre fin à la guerre, de libérer les prisonniers «israéliens», d’éviter la perte de leurs soldats, de permettre le retour des déplacés, de reconstruire l’armée, de réparer les relations avec le monde, et de restaurer l’économie ainsi que la force nationale et sociale du pays.

«doit reconnaître qu’il doit reconstruire ses capacités nationales avec l’aide des États-Unis et d’autres pays amis, et établir des alliances permettant au pays de vivre de nombreuses années à venir, pour ne pas se retrouver à dire un jour : Nous avons gagné la guerre, mais nous avons perdu notre pays», a-t-il conclu.

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