noscript

Please Wait...

Le nord de Gaza est plongé dans l’enfer, selon l’Unrwa

Le nord de Gaza est plongé dans l’enfer, selon l’Unrwa
folder_openPalestine access_time depuis 10 jours
starAJOUTER AUX FAVORIS

Par AlAhed avec PressTV

L'agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) affirme que la partie nord de la bande de Gaza est plongée dans l'enfer au milieu de la campagne de bombardements d'«Israël» sur les installations civiles et du blocus de l'aide depuis près de trois mois.

Dans une interview accordée mercredi à la chaîne de télévision publique irlandaise RTE, la directrice de la communication de l'Unrwa, Juliette Touma, a déclaré que le nord de Gaza avait été le théâtre de «bombardements massifs», ainsi que de pertes humaines parmi les civils et d'attaques contre des hôpitaux et des abris.

Elle a également été interrogée sur la situation de l'hôpital Kamal Adwan, qui fonctionne encore à peine dans le nord de Gaza malgré un ordre «israélien» de fermeture et d'évacuation.

La responsable onusienne a déclaré que les ordres d'évacuation des centres médicaux et les raids contre ces establishments de santé «sont devenus monnaie courante à Gaza» depuis octobre 2023, lorsqu'«Israël» a déclenché sa guerre génocidaire sur le territoire palestinien.

«Nous ne devons pas devenir insensibles au fait que cela se produit tout le temps. Parce qu'en fin de compte, c'est une violation du droit international», a-t-elle ajouté.

Et de souligner: «Cela franchit une ligne rouge très épaisse et les règles de la guerre ont été trop souvent enfreintes à Gaza, et les responsables doivent en rendre compte».

Au cours des derniers mois, «Israël» a utilisé des chars, des tireurs d’élite et des quadricoptères pour attaquer l’hôpital Kamal Adwan, où plus de 400 civils ont cherché des soins médicaux et un abri.

Le 7 octobre 2023, «Israël» a lancé son offensive barbare contre la bande de Gaza, faisant jusqu'à présent au moins 45 361 martyrs palestiniens, principalement des femmes et des enfants, et 107 803 autres blessés.

Comments

//