Iran: Les développements mondiaux et régionaux poussent «Israël» vers l’effondrement, dit Baqeri

Par AlAhed avec PressTV

Le chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général de division Mohammad Baqeri a affirmé lundi que le cours actuel des développements aux niveaux régional et international montre que l’entité sioniste est sur le point de s’effondrer et que l’Arrogance mondiale perd de son pouvoir tandis que la République islamique se renforce.

«L’année dernière était marquée par une conjoncture tumultueuse au cours de laquelle les forces armées [iraniennes] ont su prendre des mesures importantes pour renforcer leur puissance défensive et leur état de préparation», a indiqué le général Baqeri.

Et de souligner: «Ce dont on est témoin sur le plan régional aussi bien que mondial, (…) est que le cours des développements pousse l’entité sioniste vers l’effondrement, tandis que l’Arrogance mondiale s’affaiblit... Au contraire, la puissance de notre pays et de l’axe de la résistance ne cesse d’augmenter».

Le haut gradé iranien a précisé que de nombreux penseurs américains et même des politiciens ont reconnu ce fait et «même le président de cette entité factice a admis à maintes reprises qu’Israël est sur le point de s’effondrer».

«C’est exactement la promesse qu’avait évoquée notre Leader (sayyed Ali Khamenei), (en ce sens) qu’ils disparaîtront d’ici 25 ans», a-t-il rappelé.

En février, le «président israélien» Isaac Herzog a renouvelé ses avertissements sur le danger de la guerre civile, affirmant que «Tel-Aviv» était au bord de «l’effondrement sociétal et constitutionnel».

Sa remarque tombait alors que les territoires occupés ont été le théâtre de manifestations massives au cours des 13 dernières semaines consécutives contre un projet de réforme judiciaire controversé et très impopulaires proposé par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

Les manifestations ont lieu chaque semaine depuis fin décembre, lorsque Netanyahu a annoncé son intention de mettre en œuvre cette réforme.

Après des semaines de manifestations, parfois violentes, le Premier ministre israélien belliciste a finalement annoncé une «pause» dans ce projet de réforme de la justice, sans pour autant convaincre les contestataires de vider la rue.