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Guerre en Ukraine : Biden ne veut pas livrer d’avions de combat F-16

Guerre en Ukraine : Biden ne veut pas livrer d’avions de combat F-16
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Par AlAhed avec agences

Les faits Le président américain Joe Biden a annoncé lundi 30 janvier refuser d’envoyer des avions de chasse de type F-16 à l’Ukraine. L’Allemagne a également rejeté cet envoi, demandé par le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Joe Biden a opposé lundi 30 janvier un refus catégorique à l’idée d’envoyer des avions de combat américains de type F-16 à l’Ukraine, dont la liste d’aide en armement s’allonge pour chasser les forces russes de son territoire occupé.

«Non», a dit le président américain lorsqu’un journaliste l’a interrogé à la Maison-Blanche sur la possibilité de fournir les appareils que réclament les dirigeants ukrainiens.

Alors qu’approche le 24 février, qui marquera un an depuis le début de l’opération russe en Ukraine, Joe Biden n’a pas voulu dire s’il se rendrait en Europe à cette occasion. Mais il a assuré qu’il irait, sans préciser de date, en Pologne.

Le Brésil, qui accueille le chancelier allemand Olaf Scholz en tournée sur le continent, n’enverra pas de munitions à l’Ukraine, a affirmé le président Luiz Inacio Lula da Silva. «Ma suggestion est de créer un groupe de pays (qui se réuniront) autour de la table avec l’Ukraine et la Russie pour essayer» d’atteindre la paix, a-t-il déclaré.

Berlin rejette l’envoi d’avions de combat

Lula a également souligné que le rôle de la Chine était fondamental pour trouver une issue à la guerre. «Il est temps que la Chine mette les mains dans le cambouis», a-t-il dit.

Du côté du bloc européen, Berlin a déjà rejeté catégoriquement l’idée d’envoyer des avions de combat, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que « par définition, rien n’est exclu », tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.

Emmanuel Macron a souligné des «critères» avant toute décision : une « demande formulée » par l’Ukraine, que cela ne «soit pas escalatoire» et «pas de nature à toucher le sol russe mais bien à aider l’effort de résistance» et que «ça ne vienne pas affaiblir la capacité de l’armée française».

 

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