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Présidentielle US: après l’incident de Clinton, la santé des candidats au cœur de la campagne

Présidentielle US: après l’incident de Clinton, la santé des candidats au cœur de la campagne
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La candidate démocrate à la Maison Blanche Hillary Clinton, qui a été victime d'un malaise lors d'une cérémonie commémorative du 11 Septembre, a promis de nouvelles informations sur son état de santé, tout comme son rival républicain Donald Trump.

Présidentielle US: après l’incident de Clinton, la santé des candidats au cœur de la campagne

Elle a déclaré lundi par téléphone à CNN qu'elle avait été prise d'un «vertige» et avait «perdu l'équilibre pendant une minute», mais qu'elle s'était ensuite tout de suite sentie mieux.

Quelques jours plus tôt à Cleveland, elle avait été prise d'une violente quinte de toux.

Son équipe a affirmé que les nouveaux détails montreraient qu'elle n'a pas d'autre problème que sa pneumonie.

La candidate démocrate a minimisé l'importance de son malaise et a estimé qu'elle était beaucoup plus transparente que son adversaire républicain Donald Trump.

«Je me sens bien!», dit Trump

A 70 ans, le républicain Trump, qui serait le plus vieux président jamais élu, n'a à ce jour publié qu'un vague bilan de santé, rédigé à la hâte par son médecin Harold Bornstein en décembre 2015.

«Sa tension artérielle et les résultats des tests en laboratoire sont incroyablement excellents. S'il est élu, je peux affirmer sans équivoque que M. Trump sera l'individu en meilleure santé jamais élu à la présidence», affirmait le médecin, qui a récemment confié qu'il avait écrit ses «quatre ou cinq paragraphes le plus vite possible».

Le candidat républicain a promis de publier cette semaine les résultats de l'examen médical qu'il vient de passer.

«Heureusement, ils devraient être bons. Je crois qu'ils devraient être bons. Je me sens parfaitement bien!», a déclaré Donald Trump dans une interview à Fox News.

A un peu plus de 50 jours de l'élection présidentielle, «plus ils sont transparents sur leur santé, mieux c'est», estime Robert Shapiro, expert politique de l'université Columbia à New York, selon lequel cela peut être fait sans «tout rendre public».

Source: agences et rédaction

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