Gouvernement palestinien: le Hamas refuse une dissolution «unilatérale»
Le Hamas aux commandes dans la bande de Gaza a dit refuser toute dissolution «unilatérale» du gouvernement d'unité palestinien, auquel il est associé et qui pourrait présenter sa démission ce mercredi à l'instigation du président de l'Autorité palestinienne (AP) Mahmoud Abbas.
«Le Hamas rejette tout changement unilatéral de gouvernement sans le consentement de toutes les parties», a dit à l'AFP Sami Abou Zouhri, porte-parole du mouvement.
Des participants à la réunion du gouvernement mardi à Ramallah ont indiqué, sous couvert de l'anonymat, que M. Abbas avait annoncé mardi après-midi devant un organe de son parti la démission sous 24 heures du gouvernement d'unité formé en 2014. Abbas était censé rencontrer le Premier ministre Rami Hamdallah en début d'après-midi.
Le porte-parole du gouvernement ne confirme pas
Ehab Bseiso, porte-parole du gouvernement d'union palestinien, n'a pas confirmé une telle démission. «Nous avons eu une réunion (du gouvernement) aujourd'hui et cette question n'a pas été discutée», a-t-il dit.
Cette démission, si elle devient effective, sanctionnera les divisions des mouvements palestiniens malgré la réconciliation proclamée en 2014, et l'incapacité du gouvernement d'union nationale alors constitué à exercer son autorité sur la bande de Gaza.
Source : AFP et rédaction
«Le Hamas rejette tout changement unilatéral de gouvernement sans le consentement de toutes les parties», a dit à l'AFP Sami Abou Zouhri, porte-parole du mouvement.
Des participants à la réunion du gouvernement mardi à Ramallah ont indiqué, sous couvert de l'anonymat, que M. Abbas avait annoncé mardi après-midi devant un organe de son parti la démission sous 24 heures du gouvernement d'unité formé en 2014. Abbas était censé rencontrer le Premier ministre Rami Hamdallah en début d'après-midi.
Le porte-parole du gouvernement ne confirme pas
Ehab Bseiso, porte-parole du gouvernement d'union palestinien, n'a pas confirmé une telle démission. «Nous avons eu une réunion (du gouvernement) aujourd'hui et cette question n'a pas été discutée», a-t-il dit.
Cette démission, si elle devient effective, sanctionnera les divisions des mouvements palestiniens malgré la réconciliation proclamée en 2014, et l'incapacité du gouvernement d'union nationale alors constitué à exercer son autorité sur la bande de Gaza.
Source : AFP et rédaction