Haj Imad Moughnieh tombé en martyre dans une opération conjointe israélo-américaine
Sept ans après l'assassinat du leader martyr haj Imad Moughnieyh, Washington Post a dévoilé l'implication de l'entité sioniste et des Etats-Unis dans cette liquidation. Les États-Unis ont toujours nié avoir participé à l'élimination de Moughniyeh, mais cinq anciens responsables du renseignement ont confirmé leur participation à cette opération au Washington Post.
Dans un long rapport publié samedi 31 janvier, le quotidien américain révèle que haj Imad Moughnieh aurait été tué à Damas en 2008 dans une opération conjointe effectuée par la CIA et le Mossad.
Selon le journal, les services de renseignement américain et israélien ont traqué haj Imad pendant des mois. Ils surveillaient même sa résidence un an avant sa liquidation.
Selon le journal américain, la bombe installée dans son véhicule par les agents israéliens et actionnée depuis «Tel Aviv», aurait été spécialement conçue par l'agence américaine dans une de ses bases en Caroline du Nord. Le test aurait probablement nécessité 25 tests selon un expert cité par le journal afin de limiter les dégâts collatéraux. Selon le Washington Post, c'est l'entité sioniste qui aurait émis l'idée d'une opération conjointe.
Les USA avaient jusqu'à présent démenti toute participation à l'assassinat considéré comme à risque et a nécessité un accord au plus haut niveau. On cite ainsi l'accord du président américain, Georges W Bush et de son secrétaire d'état au département de la justice ainsi que du département légal, du directeur du renseignement, du conseiller à la sécurité nationale. L'assassinat ayant été conduit sur le territoire d'un pays n'étant pas en guerre contre Washington, il devrait donc être considéré comme une violation des lois internationales, selon les experts juridiques interviewés par le Washington Post.
Source : sites web et rédaction
Dans un long rapport publié samedi 31 janvier, le quotidien américain révèle que haj Imad Moughnieh aurait été tué à Damas en 2008 dans une opération conjointe effectuée par la CIA et le Mossad.
Selon le journal, les services de renseignement américain et israélien ont traqué haj Imad pendant des mois. Ils surveillaient même sa résidence un an avant sa liquidation.
Selon le journal américain, la bombe installée dans son véhicule par les agents israéliens et actionnée depuis «Tel Aviv», aurait été spécialement conçue par l'agence américaine dans une de ses bases en Caroline du Nord. Le test aurait probablement nécessité 25 tests selon un expert cité par le journal afin de limiter les dégâts collatéraux. Selon le Washington Post, c'est l'entité sioniste qui aurait émis l'idée d'une opération conjointe.
Les USA avaient jusqu'à présent démenti toute participation à l'assassinat considéré comme à risque et a nécessité un accord au plus haut niveau. On cite ainsi l'accord du président américain, Georges W Bush et de son secrétaire d'état au département de la justice ainsi que du département légal, du directeur du renseignement, du conseiller à la sécurité nationale. L'assassinat ayant été conduit sur le territoire d'un pays n'étant pas en guerre contre Washington, il devrait donc être considéré comme une violation des lois internationales, selon les experts juridiques interviewés par le Washington Post.
Source : sites web et rédaction
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