Le poète syrien Adonis dénonce une «révolution» fallacieuse

Le poète syrien Adonis réaffirme ses critiques envers la soi-disant «révolution syrienne» dépourvue de tout discours.
Exilé depuis les années 1960, l'intellectuel syrien, de son vrai nom Ali Ahmad Saïd Esber, dénonce l'influence des puissances étrangères sur l'«opposition syrienne». Il déplore, dans un entretien avec le site Mediarapt, le rôle de la France dans ce conflit qui combattent les extrémistes au Mali et les soutiennent en Syrie.
Adonis, âgé de 82 ans, né à Al-Qassabin, près de Lattaquié, en Syrie, est l'aîné d'une famille paysanne de six enfants. Après un séjour en prison pour son appartenance au Parti nationaliste syrien, il s'exile au Liban en 1956 avant de venir s'installer en France. Il réside depuis 1985 à Paris, où il a enseigné à la Sorbonne et a été le représentant de la Ligue arabe à l'UNESCO. En 2011, il a remis ses archives à l'Institut Mémoires de l'édition contemporaine (IMEC) à Caen (ouest de la France).
Exilé depuis les années 1960, l'intellectuel syrien, de son vrai nom Ali Ahmad Saïd Esber, dénonce l'influence des puissances étrangères sur l'«opposition syrienne». Il déplore, dans un entretien avec le site Mediarapt, le rôle de la France dans ce conflit qui combattent les extrémistes au Mali et les soutiennent en Syrie.
Adonis, âgé de 82 ans, né à Al-Qassabin, près de Lattaquié, en Syrie, est l'aîné d'une famille paysanne de six enfants. Après un séjour en prison pour son appartenance au Parti nationaliste syrien, il s'exile au Liban en 1956 avant de venir s'installer en France. Il réside depuis 1985 à Paris, où il a enseigné à la Sorbonne et a été le représentant de la Ligue arabe à l'UNESCO. En 2011, il a remis ses archives à l'Institut Mémoires de l'édition contemporaine (IMEC) à Caen (ouest de la France).