Un nouvel extrémiste français tué en Syrie
Un extrémiste français a été tué dans des combats contre l'armée syrienne dans la province septentrionale d'Alep, a affirmé mardi 24 septembre le soi-disant «Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH)».
«Abou Mohammad al Fransi, un Français converti à l'islam, a été tué dimanche 22 septembre dans le sud de la province d'Alep alors qu'il combattait contre les forces du régime», selon l'OSDH.
Selon une source rebelle, il combattait dans les rangs d'Ahrar al-Cham, une organisation extrémiste.
Au début du mois de septembre, un jeune Français de Roubaix (Nord) aurait trouvé la mort lors de
combats en Syrie. Sofiane 19 ans, aurait été tué à Alep. La famille a été prévenue par le coup de téléphone d'un compagnon d'armes du jeune homme.
Selon un bilan confidentiel établi par les services de renseignement français, neuf jeunes partis de France, dont certains étaient convertis, ont été tués sur place depuis le début du conflit syrien, en 2011.
Le ministre français de l'Intérieur Manuel Valls avait estimé que «plus de 130 Français ou résidents en France», souvent radicalisés, combattaient actuellement en Syrie. En outre, «une cinquantaine sont revenus, une quarantaine sont en zone de transit et une bonne centaine ont déjà, selon nos services de renseignements, montré qu'ils pouvaient se rendre là-bas», avait-il précisé. Selon le ministre, il s'agit «d'individus jeunes», «ayant connu souvent déjà un parcours délinquant», «radicalisés le plus souvent».
Source : agences et rédaction
«Abou Mohammad al Fransi, un Français converti à l'islam, a été tué dimanche 22 septembre dans le sud de la province d'Alep alors qu'il combattait contre les forces du régime», selon l'OSDH.
Selon une source rebelle, il combattait dans les rangs d'Ahrar al-Cham, une organisation extrémiste.
Au début du mois de septembre, un jeune Français de Roubaix (Nord) aurait trouvé la mort lors de
combats en Syrie. Sofiane 19 ans, aurait été tué à Alep. La famille a été prévenue par le coup de téléphone d'un compagnon d'armes du jeune homme. Selon un bilan confidentiel établi par les services de renseignement français, neuf jeunes partis de France, dont certains étaient convertis, ont été tués sur place depuis le début du conflit syrien, en 2011.
Le ministre français de l'Intérieur Manuel Valls avait estimé que «plus de 130 Français ou résidents en France», souvent radicalisés, combattaient actuellement en Syrie. En outre, «une cinquantaine sont revenus, une quarantaine sont en zone de transit et une bonne centaine ont déjà, selon nos services de renseignements, montré qu'ils pouvaient se rendre là-bas», avait-il précisé. Selon le ministre, il s'agit «d'individus jeunes», «ayant connu souvent déjà un parcours délinquant», «radicalisés le plus souvent».
Source : agences et rédaction
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