L’ayatollah Ali Khamenei : "L’Iran réduira Tel-Aviv et Haïfa en cendres au cas d’une attaque à son encontre"
La république islamique d'Iran détruira Tel-Aviv et Haïfa et les réduira en cendres au cas où "Israël" lance une guerre à son encontre, a déclaré le Leader de la révolution islamique l'ayatollah Ali Khamenei dans une allocution prononcée devant des milliers d'Iraniens, rassemblés pour l’écouter à l'occasion du début de l'an iranien, la fête du Norouz.
Il a affirmé qu'en dépit des sanctions économiques, le peuple iranien a réalisé beaucoup d'exploits sur de différents plans, dont l’infrastructure, l’énergie, la découverte de nouvelles mines d'uranium, la construction de nouvelles stations de pétrole et les développements scientifiques, technologiques, sanitaires et spatiaux.
"Certains pays ont imposé des sanctions sévères et un siège sur les banques et les fonds iraniens. C’est la politique de l'administration américaine. Les ennemis ont même mandaté un envoyé spécial qui voyage dans les différents pays, et les exhorte à couper tout lien avec la république, surtout sur le plan pétrolier", a expliqué l’ayatollah. "Leur but était de planter le doute dans l'esprit des Iraniens et de créer un fossé entre le peuple et le régime. Cependant, les rassemblements des foules sur les places du pays à l'occasion de la victoire de la révolution ont constitué un choc pour les ennemis du régime", a-t-il martelé.
Concernant les négociations avec les Occidentaux sur le nucléaire, il a déclaré : "Ce n'est pas un dialogue mais une sorte d'imposition. C’est ce que l’Iran n'accepte pas". Sayed Khamenei s'est ensuite adressé au Américains en disant : "Nous ne sommes pas inquiets si vous voulez changer le régime islamique. Vous ne pouvez rien faire. Nous ne voulons pas produire une arme nucléaire. Vous ne le croyez pas. Et, bien, nous ne vous croyons pas non plus". Il a estimé que les négociations avec les forces mondiales sont une tactique qui vise à détourner l'opinion publique mondiale.
"L’Iran a le droit d’enrichir l'uranium, et le monde doit reconnaitre ce droit", a-t-il affirmé. Il a appelé les Américains à revenir sur l'hostilité qu’ils ressentent envers le peuple iranien depuis 34 ans, et à repenser leurs politiques. "Nous sommes un peuple vivant, en dépit de toutes les menaces et les difficultés. Nous n'avons pas échoué, et nous ne renonçons pas", a-t-il finalement affirmé.
Traduit par moqawama.org
Il a affirmé qu'en dépit des sanctions économiques, le peuple iranien a réalisé beaucoup d'exploits sur de différents plans, dont l’infrastructure, l’énergie, la découverte de nouvelles mines d'uranium, la construction de nouvelles stations de pétrole et les développements scientifiques, technologiques, sanitaires et spatiaux.
"Certains pays ont imposé des sanctions sévères et un siège sur les banques et les fonds iraniens. C’est la politique de l'administration américaine. Les ennemis ont même mandaté un envoyé spécial qui voyage dans les différents pays, et les exhorte à couper tout lien avec la république, surtout sur le plan pétrolier", a expliqué l’ayatollah. "Leur but était de planter le doute dans l'esprit des Iraniens et de créer un fossé entre le peuple et le régime. Cependant, les rassemblements des foules sur les places du pays à l'occasion de la victoire de la révolution ont constitué un choc pour les ennemis du régime", a-t-il martelé.
Concernant les négociations avec les Occidentaux sur le nucléaire, il a déclaré : "Ce n'est pas un dialogue mais une sorte d'imposition. C’est ce que l’Iran n'accepte pas". Sayed Khamenei s'est ensuite adressé au Américains en disant : "Nous ne sommes pas inquiets si vous voulez changer le régime islamique. Vous ne pouvez rien faire. Nous ne voulons pas produire une arme nucléaire. Vous ne le croyez pas. Et, bien, nous ne vous croyons pas non plus". Il a estimé que les négociations avec les forces mondiales sont une tactique qui vise à détourner l'opinion publique mondiale. "L’Iran a le droit d’enrichir l'uranium, et le monde doit reconnaitre ce droit", a-t-il affirmé. Il a appelé les Américains à revenir sur l'hostilité qu’ils ressentent envers le peuple iranien depuis 34 ans, et à repenser leurs politiques. "Nous sommes un peuple vivant, en dépit de toutes les menaces et les difficultés. Nous n'avons pas échoué, et nous ne renonçons pas", a-t-il finalement affirmé.
Traduit par moqawama.org
//