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Le président du PSG brise le silence, après la déroute

Le président du PSG brise le silence, après la déroute
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Toujours sous le choc deux jours après la «remontada» barcelonaise mercredi en Ligue des champions (6-1), Nasser Al-Khelaïfi a renouvelé son «soutien plein et entier» à l'entraîneur Unai Emery dans une interview au quotidien Le Parisien à paraître samedi. Il annonce aussi que Paris va «envoyer dès cet été des signaux forts».

Le président du PSG brise le silence, après la déroute

Il ne s'en cache pas. Nasser Al-Khelaïfi est touché. Et il confie ressentir «un mélange de tristesse et de colère». Mais le président du Paris SG voit déjà plus loin. Et ne compte pas en rester là, loin de là. Déjà, il met les points sur les i : Unai Emery a «soutien plein et entier». «Unai a des qualités en lesquelles nous croyons. Il a mon soutien plein et entier», a assuré Al-Khelaïfi. «Avec lui, nous allons parler des changements qui seront nécessaires à l'intersaison», a-t-il ajouté.

Si certains craignait que cette claque historique fasse changer le projet de QSI à Paris, le président parisien le promet : «Nous allons poursuivre nos efforts». Dès cet été sur le marché des transferts, la puissance du PSG devrait encore se faire sentir. «Nous allons travailler pour envoyer dès cet été des signaux forts qui montreront à quel point nos ambitions sont grandes», annonce Al-Khelaïfi. «Nous n'avons pas été à la hauteur de ce qui devait être l'un des moments forts de notre projet», a admis le président du PSG.

Enervé contre l'arbitrage

Malgré tout, convaincu que Paris reste une grande équipe capable d'attirer les plus grands joueurs du monde, Al-Khelaïfi a souligné que Paris bénéficiait toujours d'un «stade magnifique avec une ambiance de plus en plus belle». «Nous avons l'ambition de nous doter dans les prochaines années du meilleur centre d'entraînement du monde. Un grand joueur sera toujours sensible à tout cela», a-t-il assuré.

Interrogé sur les erreurs d'arbitrage, il a affirmé que «l'issue de ce match aurait pu être différente avec un arbitrage plus clairvoyant». «Tout le monde a vu au moins le penalty sur Di Maria qui aurait pu nous permettre de revenir à 3-2 et sans doute de tuer tout suspense. Sans oublier qu'il n'y avait pas penalty sur Suarez en fin de match...», a-t-il déploré.

Source : agences

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