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Trump appelle «Israël» à «rester fort» en attendant le 20 janvier

Trump appelle «Israël» à «rester fort» en attendant le 20 janvier
folder_openŒIL SUR L'ENNEMI access_time depuis 7 années
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Le président élu Donald Trump a déclaré qu’«Israël» ne peut pas se faire traiter par Washington «avec tant de dédain et de mépris».

Trump appelle «Israël» à «rester fort» en attendant le 20 janvier

Sur Twitter, il sous-entend que les États-Unis, sous l’administration Obama, n’est plus une nation «amie» de l’entité sioniste. «Nous ne pouvons pas continuer à laisser Israël être traité avec un total mépris et un tel manque de respect».

«Ils étaient habitués à avoir un grand ami aux Etats-Unis, mais ce n’est plus le cas. Le début de la fin a été cet horrible accord avec l’Iran (sur la politique nucléaire, NDLR), et maintenant (l’ONU)! Reste fort Israël, le 20 janvier est très proche !», a ajouté le président élu.

Pour la première fois depuis 1979, les Etats-Unis n’ont pas mis leur veto à une résolution de l’ONU condamnant les colonies israéliennes, provoquant la colère de l’entité sioniste. Leur abstention a permis l’adoption de la résolution, approuvée par les 14 autres membres du Conseil de sécurité.

Il a également critiqué «l’horrible accord iranien», expliquant que c’était le début de «dédain» américain envers «Israël», et que cet accord s’est soldé par le vote de la Résolution 2334 anti-implantation vendredi au Conseil de Sécurité de l’ONU.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a retweeté M. Trump en le remerciant «pour sa chaleureuse amitié et son soutien sans équivoque d’Israël». Trump accuse Obama d’entraver la transition

Sur un autre plan, Trump a accusé mercredi le président sortant Barack Obama de tenir des «propos incendiaires» et de mettre des «obstacles» qui entravent la transition à la tête de l’exécutif.

«Je fais de mon mieux pour ignorer les nombreux obstacles et déclarations incendiaires du président O. Je pensais que la transition se ferait en douceur. MAIS NON !», a tweeté le tribun populiste élu le 8 novembre, sans préciser la teneur de ces obstacles ni les propos de M. Obama auxquels il se réfère.

Barack Obama, qui doit quitter ses fonctions le 20 janvier, s’est dit «sûr» lundi qu’il aurait remporté un troisième mandat si la Constitution lui avait permis d’être une nouvelle fois candidat.

Source : agences et rédaction

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