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Le Premier ministre belge dénonce la «radicalisation» de la Wallonie sur le CETA

Le Premier ministre belge dénonce la «radicalisation» de la Wallonie sur le CETA
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S’exprimant sur l’avenir du traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada (CETA), Charles Michel a fait part de son inquiétude quant à la position du gouvernement wallon, qui refuse toujours de ratifier le texte controversé.

Le Premier ministre belge dénonce la «radicalisation» de la Wallonie sur le CETA

«On a passé la nuit à tenter de trouver des formules, des solutions. J'ai moi-même eu un contact avec Justin Trudeau, afin de voir quelles étaient encore les capacités de prendre en compte les préoccupations exprimées [sic]», a déclaré le Premier ministre belge alors que l’approbation du traité reste suspendue au «non» wallon.

«Je ne suis pas rassuré parce que j'ai le sentiment qu'il y a une radicalisation des positions du côté du gouvernement wallon», a ajouté Charles Michel lors de son arrivée au sommet européen de Bruxelles le 21 octobre.

L’approbation du traité de libre-échange avec le Canada reste au menu des discussions du sommet européen qui se tient les 20 et 21 octobre à Bruxelles, même si le refus du parlement de Wallonie, région francophone du sud de la Belgique, de donner son accord au texte, est un contrariant grain de sable dans les rouages du processus.

Avant le début du sommet, le président du Conseil européen Donald Tusk a cherché à faire pression sur la Belgique, indiquant que l’échec du CETA pourrait compromettre tout accord commercial avec d’autres pays à l’avenir et en assurant qu’il redoutait que «le CETA puisse être [le] dernier accord de libre-échange [de l'UE]».

Source : sites web

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