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Clinton promet de préserver «l’avantage militaire» d’«Israël»

Clinton promet de préserver «l’avantage militaire» d’«Israël»
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La candidate démocrate à l'élection présidentielle américaine Hillary Clinton a promis jeudi qu'elle travaillerait avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou pour préserver «l'avantage militaire» stratégique d'«Israël».

Clinton promet de préserver «l’avantage militaire» d’«Israël»

«Très rapidement après mon investiture, j'inviterai le Premier ministre (israélien) à Washington pour des réunions et j'enverrai mes chefs d'Etat-major et mes experts en matière de renseignements en Israël pour rencontrer leurs homologues», a-t-elle déclaré dans une interview diffusée jeudi par la chaîne de télévision israélienne Channel 2.

Les Etats-Unis et «Israël» négocient depuis plusieurs mois les termes d'un nouveau programme d'aide militaire américaine à l’entité sioniste sur 10 ans. Le programme en vigueur actuellement court jusqu'en 2018 et a une valeur de 2,7 milliards d'euros par an.

Clinton estime par ailleurs que l'idée d'une possible victoire de son rival républicain Donald Trump à la présidentielle devrait inquiéter tous les Israéliens.

«Sa compréhension des dangers plus larges dans la région devrait inquiéter tous les Israéliens, quel que soit leur positionnement sur l'échiquier politique», a-t-elle déclaré.

L'accord nucléaire iranien

Lors de l'interview, la candidate démocrate affirmait que «l'Iran n'était qu'à quelques semaines de la bombe atomique avant que l'accord sur le nucléaire iranien ne soit signé avec les Etats-Unis».

«Je crois de tout mon cœur que d'avoir limité le programme nucléaire iranien dans le cadre d'un accord, n'a fait que renforcer la sécurité d'Israël, et a empêché une course à l'armement nucléaire», a affirmé Clinton, interrogée par Yonit Levy.

Le mois dernier, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, l'un des adversaires les plus virulents de l'accord nucléaire de 2015, avait réitéré que «la position israélienne sur l'accord iranien reste la même, mais Israël n'a pas d'allié plus important que les États-Unis».

Clinton, secrétaire d'Etat entre 2009 et 2013, lors du premier mandat du président américain Barack Obama, avait contribué à ramener l'Iran à la table des négociations. Elle avait veillé, les deux premières années, à «rassembler une coalition internationale pour établir des mesures claires conduisant finalement à un accord».

Mais fin mars cette année, quatre pays, les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne, avaient critiqué les tests de missiles balistiques effectués par l'Iran, estimant qu'ils contrevenaient aux résolutions de l'ONU.

Les grandes puissances et l'Iran ont conclu, le 14 juillet à Vienne, un accord pour résoudre le dossier du nucléaire iranien à l'issue de 21 mois de négociations.

Source : sites web et rédaction

                             

 

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