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Sionisme en France, les tentacules du pouvoir (1ère partie)

Sionisme en France, les tentacules du pouvoir (1ère partie)
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Eline Briant, Paris

1789, l’année des juifs illuminatis et des franc-maçons

Commençons par le Commencement : La Révolution française.

La volonté manifestée par les hommes de 1789 de gommer les différences sociales, ethniques et religieuses afin de tenter l’émergence d’une société fraternelle réunie par une seule ambition, celle de la Nation Française et de sa grandeur,  ne peut manquer de susciter une bien légitime question, celle du sionisme et de sa sœur cadette, la franc-maçonnerie.

Sionisme en France, les tentacules du pouvoir (1ère partie)

Car oui, bien des écrits révèlent la magnifique supercherie qui mena la France au début de sa longue déchéance.

Les premiers préparatifs de la révolution – ceux de la monarchie constitutionnelle et de la Déclaration des Droits de l’Homme – furent dirigés par les Francs-maçons les plus idéalistes. Mais les étapes suivantes avec leur plan radicalement destructeur (de type kabbaliste et terroriste) furent vite mis hors de contrôle… Ou plutôt contrôlée par quelques hommes d’ombre.

Quel était ce pouvoir occulte qui semble avoir contrôlé même les Illuminatis ? Beaucoup d’historiens pensent qu’il s’agissait des Talmudistes, les rabbins dirigeant le peuple Juif. Cependant, le triomphe final des Talmudistes fut temporairement retardé par un excès de zèle révolutionnaire qu’ils avaient eux-mêmes provoqué.

Foncièrement antichrétienne et antireligieuse, elle s’est attaquée avec une sorte de fureur irrationnelle à l'Église, tuant son clergé, combattant sa hiérarchie, ses institutions, ses dogmes, et, pour mieux la renverser, par une politique systématique qui poussa la folie jusqu'à établir un nouveau calendrier afin d'effacer des mémoires le temps grégorien, définitivement les fondements mêmes du christianisme.

A  la fin du dix-huitième siècle, la révolution paraissait s’être égarée, consumée par la pauvreté, la corruption et les bains de sang et sauvée par un jeune soldat, Napoléon Bonaparte, qui resta fidèle à l’esprit de la révolution Française.

Le franc-maçon Christopher Hodapp écrivait : «Une rumeur a circulé pendant des années selon laquelle Napoléon Bonaparte était un franc-maçon, mais il n’y a aucune preuve historique. Pourtant, il adopta le titre de Protecteur de la Franc-maçonnerie, parmi une liste de titres qu’il porta lorsqu’il devint Empereur en 1804.» (1)

Vatican II ou la victoire sioniste

Peu sont ceux qui savent pourquoi et comment le Concile Œcuménique Vatican II a été infiltré par les juifs pour aboutir à cette cassure déroutante, véritable table rase de la Foi catholique, pour réhabiliter les juifs du meurtre déicide et faire tomber la responsabilité de ce crime à l’humanité entière* !

Le but de cette initiative lancée dans les années 1960  fut de toute évidence d’ouvrir la brèche vers le judaïsme-sioniste donné avec l’infiltration de nombreux juifs faussement convertis au christianisme (le Cardinal Augustin Béa, Mgr John Œsterreicher, les évêques Walter Kempe d’Allemagne, Serge Mendez Arceo du Mexique, Lustiger etc) et qui n’eurent de cesse de répandre cette idée.

Conséquence logique : l’éloignement des adeptes, laïcs et clergé y compris, appelé justement «l’hémorragie silencieuse de l’Eglise».

En 1936 déjà, le «Catholic Gazette» journal de Londres titrait «Le péril juif et l’Eglise Catholique», mettant en garde ses coreligionnaires avec la révélation des discussions tenues au cours d’une série de réunions secrètes de juifs à Paris :

«Tant que toute Religion, tout Patriotisme, toute dignité n’auront pas été liquidés, notre règne sur le monde ne pourra venir»;

«Ces gentils qui arrivent à être membres de nos loges, ne peuvent jamais soupçonner que nous les utilisons pour construire leurs propres prisons, sur les terrasses desquelles nous allons ériger le trône de notre roi universel d’Israël» ; «Nous avons poussé quelques-uns de nos fils à s’intégrer au corps catholique avec la mission explicite de travailler beaucoup plus efficacement pour la désintégration de l’Eglise catholique, en créant en son sein des situations scandaleuses».

Sionisme en France, les tentacules du pouvoir (1ère partie)

Le lobby B’nai Brith, puissant lobby sioniste active donc son plan et infiltre en douceur l’Eglise jusqu’à signature du Vatican II. Quant aux principaux auteurs du décret «De Judaeis», ce sont les juifs convertis Mgr Œsterreicher, ancien prédicateur dans la cathédrale de Saint Patrice de New York, et Mgr Gregory Baum, qui affirma un jour : «Aucun œcuménisme n’est possible sans la réconciliation de l’ancien et du nouvel Israël». Ce qui révèle amplement les finalités politiques du dit Concile : Faire passer la reconnaissance de l’Etat d’Israël par le Vatican. (1)

L’Islam, la nouvelle cible

Ce plan machiavélique est aussi en marche contre l’Islam. Récemment, Jacques Attali, ce haut fonctionnaire français, ouvertement sioniste, présentait devant un parterre juif comment modifier la population musulmane et l’islam en France.

Rappelant de nombreuses statistiques selon lesquelles les juifs seront minoritaires d’ici 50 ans, en Europe, et… en «Israël», il affirmait qu’aujourd’hui, la modération des arabes, ou plutôt leur «collaboration» ne suffisait plus. Il leur faut maintenant des imams modérés bref des musulmans de services.

Attali, propose ainsi de rémunérer les imams modérés de France, imams taillés sur la volonté et l’idéologie des juifs sionistes pour ne pas laisser place aux imams «radicaux».

Cette conférence qui a eu lieu au sein du Fond Social Juif Unifié avait pour objet de revoir les priorités des juifs en France et en Europe : tout cela est lié bien entendu à l’entité sioniste. (2)

Ce plan pour infiltrer la résistance et les musulmans est déjà en marche, les imams tels que Rachid Birbach ou encore Hassan Chalgoumi en sont les preuves.

Les médias, la nouvelle religion

Mais la plus grande intrusion de l’idéologie sioniste est bien celle de faire croire via les mass médias ultralibéraux, à l’idée de «guerre contre le terrorisme» (indispensable à la survie d’ «Israël»).

Cette idéologie sans cesse revisitée s’appuie sur des outils sémantiques et des manipulations mentales et politiques qui lui permettent d’asseoir son pouvoir au sujet du conflit israélo-palestinien, ou encore de la communauté juive et surtout la mondialisation très profitable au sionisme.

Ainsi, se sont bien les clichés antisémites que l’on dégaine systématiquement en vue d’un musellement de toutes les résistances antilibérales, pro arabes, anti fédération LGBT, ou bien même juste nationalistes. 

Si, au commencement des médias, la représentation se faisait en fonction des compétences, aujourd’hui, elle est proportionnelle aux religions et au communautarisme.  Seulement voilà, aujourd’hui, la moitié des journalistes, animateurs, ou même intervenants sont sionistes… Autant dire que les faiseurs d’idées sont en rang serrés.

Ainsi on peut remarquer qu’aujourd’hui, le néo-sionisme s’invite avec une majorité écrasante à tous les débats télévisuels (sur les chaines D8, BFM, I Télé, LCI etc, pour des émissions comme C dans l’air, Ripostes, Arrêt sur image, le droit de savoir etc).

Et que penser de Patrick Drahi qui a racheté tous les médias les plus influents de France ?  Milliardaire et résidant fiscal en Suisse, P. Drahi est un pur israélien après sa renonciation à la nationalité française en 2013.    

Libération, l’Express, Classica, BFM TV et RMC font donc partis de son panel français mais son influence s’étendrait aussi à l’étranger. Ceci n’est pas sans incidences sur la politique intérieure et étrangère de la France.

Je vous présentais là, la première partie d’une longue série de preuves sur la longue et discrète infiltration sioniste de France et… ailleurs.

<>(1)https://henrymakow.wordpress.com/2014/07/13/les-juifs-illuminati-furent-derriere-la-revolution-francaise/

http://www.alterinfo.net/VATICAN-II-INFILTRE-PAR-LES-JUIFS_a103657.html#k01IAR03yob0WreX.99
http://antipropagandecom.blogspot.fr/2010/02/chalghoumi-nest-que-la-branche-qui.html

*Les musulmans ne croient pas en la crucifixion de Jésus, ni à l’idée qu’il mourut, qu’il fut enterré trois jours.

Source : French.alahednews

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