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Le sort de la trêve au Yémen est menacé

Le sort de la trêve au Yémen est menacé
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L'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU Ismaïl Would el-Cheikh n'a pas encore répondu au sujet de l'entrée en vigueur de la trêve humanitaire au Yémen. Mais Would el-Cheikh a déclaré aux forces yéménites que l'Arabie a accepté un cessez-le-feu durant le mois sacré de Ramadan, ont annoncé des membres de la délégation yéménite au site d'Alahed.

Ces sources ont rapporté que les représentants des forces politiques yéménites resterontLe sort de la trêve au Yémen est menacé jusqu'à vendredi à Genève, signalant que les responsables yéménites à Sanaa discutent la question d'aller à New-York pour rencontrer le secrétaire général de l'ONU. Celles-ci ont démenti que Hamza el-Houthi, chef de la délégation d'Ansarullah, ait rencontré l'ambassadeur américain à Genève. Par ailleurs, ces sources n'ont pas été en mesure de déterminer si Keith Harber a rencontré quiconque parmi les composantes politiques.

Would el-Cheikh a demandé à la délégation des forces yéménites de se retirer des villes si la trêve humanitaire est observée pendant le mois de Ramadan. Mais la délégation considère que ce retrait laisserait un vide, surtout qu'il n'existe pas un gouvernement élu, signalant que Would el-Cheikh a promis d'observer une trêve humanitaire pendant le mois de Ramadan.

Et d'ajouter : «le mouvement d'Ansarullah est d'accord avec les propositions de Would el-Cheikh. L'initiative du Golfe prévoit des élections parlementaires dont résultent un gouvernement et un président. En effet, l'ONU soutient l'initiative. Et les résultats du dialogue national prévoient un mandat présidentiel de deux années pour Abed Rabbu Mansour Hadi, visant selon les interlocuteurs, à tenir les élections. Mais le mandat de l'ex-président est terminé en février 2014, l'Arabie et Mansour ont manqué à l'accord. Ce qui a conduit «Ansarullah» et leur alliés à entrer à Sanaa».

D'autre part, les membres de la délégation ont mentionné les entraves dans leur voyage de Djibouti à Genève. Le ministre omanais des Affaires étrangères, Yousef Ben Alaoui, a résolu ce problème, au moyen de plusieurs appels régionaux et internationaux. De leur part, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et son envoyé Would el-Cheikh se sont pliés aux pressions saoudiennes, et Ki-moon a quitté Genève avant l'arrivée de la délégation.

Selon des sources proches d'Ismaïl Would el-Cheikh, «le plan de l'envoyé international consiste à se déplacer entre les deux délégations. Dans un premier temps, chacune restera dans sa résidence. D'autres pourparlers détaillés auront lieu après le mois de Ramadan».

Source : Al-Ahednews

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