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Désespérée, «Israël» cherche à vaincre ses ennemis dans un jeu vidéo

Désespérée, «Israël» cherche à vaincre ses ennemis dans un jeu vidéo
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Par Rosana El Toufaili

Nous sommes en 2130 et «Israël» se doit de combattre ses ennemis, des ennemis jugés trop dangereux à son goût. Voilà dans quel contexte s'inscrit le jeu israeli air force. Créé par l'entité sioniste, il consiste à attaquer non seulement des organisations islamiques mais également des pays du Moyen-Orient.

«Israël» qui a toujours été en conflit avec plusieurs pays de par son territoire qui est illicite, aDésespérée, «Israël» cherche à vaincre ses ennemis dans un jeu vidéo décidé de s'inspirer du Hezbollah, organisation politique, militaire et sociale, en mettant en place un jeu qui pourrait les aider à ne pas trop «désespérer» face à ses ennemis. Ses principaux opposants sont des groupes de résistance qui sont le Hamas et le Hezbollah, ainsi que des pays du Moyen-Orient comme la Syrie et l'Iran, mais un autre ennemi vient s'ajouter sur la liste : le quatrième Reich, c'est-à-dire l'Europe. Ce n'est pas une première mais «israeli air force» se démarque car il y a un obstacle avant «l'extermination définitive» du Hezbollah, effectivement il faut passer par les médias et notamment par la chaîne libanaise, Al Manar, qui défend les couleurs du Parti de Dieu. Cependant pour arriver à éliminer l'Iran, il faut tout d'abord réussir à détruire la ville de Hamadan, qui est une ville historique de l'empire perse. Attention chose qui n'est pas facile !

La destruction d'Al Manar, un objectif toujours d'actualité pour «Israël»

Si on retrouve le logo de la chaîne d'Al Manar dans ce jeu, ce n'est pas un hasard. Il est vrai queDésespérée, «Israël» cherche à vaincre ses ennemis dans un jeu vidéo cette chaîne d'information est vue comme une «chaîne terroriste» que ce soit du point de vue israélien ou du point de vue européen. Elle a été créée en 1991, en 2004 la chaîne libanaise a été interdite en France puis en Europe. Effectivement, on ne pouvait plus accéder à cette chaîne jugée trop violente par les États qui protègent l'entité sioniste. Elle a été accusée d'avoir diffusé des «émissions antisémites». Pourtant, la réalité est toute autre, elle retransmet ce qui se passe sur le terrain, Al Manar montre notamment les crimes perpétrés par l'entité sioniste. Sans être jugée ou condamnée, la France qui obéit à «Tel-Aviv», en a profité et a donc interdit la diffusion de cette chaîne. En effet l'Hexagone participe à la désinformation et à la propagande mensongère. Faire taire la voix de la vérité, la voix de la résistance en interdisant la diffusion de cette chaîne pour protéger l'entité sioniste, voilà l'un des objectifs de la France. Une censure qui laisse un impact derrière elle. Quel est ce lien fort qui unit «Israël» et l'Europe ? Est-ce que cette relation si amicale pourrait vite se transformer en une rivalité ?

Des ennemis puissants, qui ne reculent devant rien

«Israël» pense que l'Europe est le 4ème Reich. Mais que veut dire exactement le 4ème Reich ? Autrefois, les Nazis l'avaient planifié. Effectivement, les industriels et économistes avaient donné l'ordre de préserver le régime Nazi, en créant un marché commun européen. La création de l'Union Européenne était donc prévue depuis bien longtemps, apparemment elle était l'objet de nombreux débats dans les années 50. D'ailleurs, à l'époque on parlait déjà d'une monnaie unique et d'un marché commun européen. Un complot qui tombe à l'eau, mais cinquante ans plus tard ce projet est mis en place, un nouveau marché commun a donc vu le jour : l'Europe. Cependant, l'Union européenne peut-être vue comme totalitaire, en effet cette dernière supprime le droit à la liberté d'expression à toute personne en mesure d'exercer une influence, critiquant l'UE ainsi que ses intérêts. Il faut savoir qu'«Israël» refuse de voir l'Europe plus puissante qu'elle, en fait c'est tout le contraire, elle souhaite avoir une UE soumise. C'est ce que l'on constate avec les derniers événements, «Israël» joue sur sa stratégie afin de séduire l'Union Européenne. Chose faite, cette dernière agit sur le terrain en Syrie et en Irak par le biais d'hommes armés. Voilà la raison pour laquelle l'Union Européenne est un adversaire de taille.
S'ajoute à ça, le complot de la Syrie, un conflit qui a été préparé depuis bien longtemps. Soutenu par les États-Unis, «Israël» en a bien profité pour attirer les « terroristes » des pays du Golfe à se révolter en Syrie. Si bien que les deux alliés soutiennent financièrement et matériellement les takfiristes, qui non seulement viennent de pays arabes mais également de tous les coins du monde. De plus en plus de personnes se rendent compte de la situation réelle en Syrie. Il est vrai que le monde est manipulé et croit à cette «révolution» qui est en fait un scénario préparé par les sionistes afin de rayer de la carte Bachar Al Assad, président actuel de la Syrie. Éliminer Assad pour mettre en place un «État Islamique» qui donnerait une chance à «Israël» d'occuper la Syrie et, pourquoi pas, reprendre à nouveau le Liban comme cible.
Désespérée, «Israël» cherche à vaincre ses ennemis dans un jeu vidéoLe Hezbollah quant à lui est l'ennemi numéro un d'«Israël», difficile que l'entité sioniste puisse anéantir la résistance libanaise, quand on sait que les héros de cette résistance ont combattu dans le sentier d'Allah et ont défendu leur territoire jusqu'à mourir en tant que martyrs. Nous l'avons bien vu lors de la guerre en 2006 certes la banlieue-Sud de Beyrouth a été «rasée» mais ce qui fut détruit a été reconstruit aussitôt et «Israël» a perdu la guerre face au grand Hezbollah. Une leçon d'échec qu'elle n'est toujours pas prête à oublier. D'ailleurs d'après les témoignages recueillis par des soldats israéliens, ils disent avoir vécu l'enfer durant ces 33 jours de guerre. Dans un article écrit par la géopoliticienne libanaise, Ghada Houballah, elle explique que ces soldats israéliens ont été traumatisés face à la résistance islamique. Un soldat interviewé précise même n'avoir vu des combattants du partie de Dieu qu'à « travers ses jumelles». De plus, nous avons des témoignages de hauts représentants israéliens qui assurent avoir combattu des «fantômes avec des épées». Des «fantômes» ? Un mystère que seul Dieu sait.
Pour ce qui est du Hamas, il ne cède et ne cédera jamais à «Israël», le Hamas est un mouvement politique islamique qui a déclaré la guerre à «Israël» depuis bien longtemps. Il est soutenu en partie par le Hezbollah, d'ailleurs en juillet dernier lors du blocus à Gaza le secrétaire général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah, a déclaré ouvertement son soutien à la résistance palestinienne face à l'État criminel qui n'est autre qu'«Israël». S'agissant de l'Iran, ce pays est la deuxième puissance militaire et économique du Moyen-Orient. Selon Netanyahu, président israélien, l'Iran est vu comme la plus grave menace au monde, étant donné qu'elle détient l'arme atomique. Pour «Israël», c'est le côté nucléaire qui est une menace pour le pays. L'Iran est d'ailleurs le premier pays en termes de soutien financier et armé au Hamas et au Hezbollah. Un pays qui continue son combat face à un État lâche, l'entité sioniste.

Déclarer la guerre à des rivaux comme le Hezbollah ou l'Iran ne devrait se limiter qu'à un jeu pour «Israël», puisque cette dernière et ses alliés restent très faibles face à la résistance, une résistance qui aujourd'hui, est plus forte que jamais et cela grâce à Dieu.

Source : French.alahednews

 


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