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Le centre du Bahreïn pour les droits de l’Homme condamne l’arrestation d’un activiste bahreïni à Oman

Le centre du Bahreïn pour les droits de l’Homme condamne l’arrestation d’un activiste bahreïni à Oman
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Le centre du Bahreïn pour les droits de l'Homme a fermement condamné l'arrestation d'un activiste bahreïni à Oman.

Les services de sécurité omanais ont appréhendé lundi 27 janvier le militant Sadeq Chaabani enLe centre du Bahreïn pour les droits de l’Homme condamne l’arrestation d’un activiste bahreïni à Oman prélude à son extradition au gouvernement bahreïni qui traque les militants et applique à leur encontre des politiques vindicatives. Le centre a porté le gouvernement omanais responsable des violations et des vexations que subira M. Chaabani après sa remise à Manama.

Selon le centre, l'arrestation d'un activiste recherché pour des motifs politiques ne fut pas la première à Oman. Les forces de l'ordre omanaises avaient détenu quatre citoyens bahreïnis, dont sayed Fayçal Alaoui et Haytham Haddad, qui ont été livrés aux autorités de leur pays. Certains parmi eux ont été victimes d'actes de torture de la part du service de sécurité national impliqué dans des violations contre les prisonniers d'opinion et des militants des droits de l'Homme.

Le centre a sollicité les autorités omanaises de renoncer à la livraison de l'activiste au gouvernement bahreïni, vu l'absence de toute garantie qui lui épargne la torture et un procès inéquitable. Dans un communiqué, le centre a jugé «positives» et «spéciales» les positions du gouvernement omanais concernant plusieurs dossiers relevant de la crise bahreïnie, dont le déploiement à Bahreïn des forces du Bouclier de la Péninsule violant ainsi la souveraineté de ce petit royaume.

Il s'est interrogé sur les motifs incitant le Sultanat d'Oman à s'impliquer dans la poursuite des activistes et des militants des droits de l'Homme bahreïnis. «Ces actes justifient les craintes éprouvées par les institutions et les organisations de défense des droits de l'Homme après l'approbation de la convention de sécurité du Golfe», ajoute le centre soulignant que «la traque des activistes d'opinion est un des résultats de ladite convention».

Source : sites web, traduit et rédigé par l'équipe du site

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