Mort de l’ex-premier ministre israélien Ariel Sharon
L'ancien premier ministre israélien Ariel Sharon est décédé, a annoncé samedi la télévision israélienne.
Agé de 85 ans, l'ancien homme fort de la droite israélienne était dans le coma depuis huit ans à la suite d'une attaque cérébrale.
Son fils Gilad a annoncé le décès à l'hôpital «Tel Hashomer», près de «Tel-Aviv», dans lequel il était traité.
Son état de santé avait empiré ces derniers jours et était considéré comme «désespéré», avait indiqué jeudi l'hôpital.
Dans les territoires palestiniens occupés, plusieurs ministres sionistes du gouvernement de droite de Benjamin Netanyahu ont exprimé leurs regrets à la disparition d'un homme «qui laissera une empreinte profonde dans toute la région».
Les dirigeants palestiniens ont pour leur part qualifié Sharon de «criminel», déplorant qu'il n'ait pas été traduit devant la justice internationale.
«Sharon était un criminel, responsable de l'assassinat d'Arafat et nous espérions qu'il comparaisse devant la Cour pénale internationale (CPI) en tant que criminel de guerre», a déclaré un dirigeant du Fatah, Jibril Raboub.
Le Hamas, au pouvoir à Gaza, a qualifié de «moment historique» la «disparition de ce criminel aux mains couvertes de sang palestinien».
Sharon, qui n’est jamais arrivé à réaliser son «rêve d’un Grand Israël», avait orchestré plusieurs massacres contre la population arabe et palestinienne, notamment celui de Sabra et Chatila, dans la banlieue de Beyrouth en 1982.
Source: agences et rédaction
Agé de 85 ans, l'ancien homme fort de la droite israélienne était dans le coma depuis huit ans à la suite d'une attaque cérébrale.
Son fils Gilad a annoncé le décès à l'hôpital «Tel Hashomer», près de «Tel-Aviv», dans lequel il était traité.
Son état de santé avait empiré ces derniers jours et était considéré comme «désespéré», avait indiqué jeudi l'hôpital.
Dans les territoires palestiniens occupés, plusieurs ministres sionistes du gouvernement de droite de Benjamin Netanyahu ont exprimé leurs regrets à la disparition d'un homme «qui laissera une empreinte profonde dans toute la région».
Les dirigeants palestiniens ont pour leur part qualifié Sharon de «criminel», déplorant qu'il n'ait pas été traduit devant la justice internationale.
«Sharon était un criminel, responsable de l'assassinat d'Arafat et nous espérions qu'il comparaisse devant la Cour pénale internationale (CPI) en tant que criminel de guerre», a déclaré un dirigeant du Fatah, Jibril Raboub.
Le Hamas, au pouvoir à Gaza, a qualifié de «moment historique» la «disparition de ce criminel aux mains couvertes de sang palestinien».
Sharon, qui n’est jamais arrivé à réaliser son «rêve d’un Grand Israël», avait orchestré plusieurs massacres contre la population arabe et palestinienne, notamment celui de Sabra et Chatila, dans la banlieue de Beyrouth en 1982.
Source: agences et rédaction